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L’efficacité du Nutrigéo de Gaïago démontrée à grande échelle

La notation de l’efficacité du Nutrigéo de Gaïago s’est faite sur les critères de la structure des sols et de la dégradation de la matière organique via des protocoles simples.

Le biostimulant conditionneur de sol Nutrigéo présente des effets positifs dans près de neuf situations sur dix, selon des tests réalisés sur plus de 20 000 ha et dont les résultats ont été dévoilés mercredi 20 septembre par le fabricant Gaïago.

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Amélioration de la structure du sol d’une part et amélioration de la dégradation de la matière organique d’autre part. L’action du biostimulant conditionneur de sol Nutrigéo, de la société Gaïago, a été testée à grande échelle dans le cadre de l’opération « La Terre par-dessus tout ».

En partenariat avec 80 acteurs de la distribution

Les résultats dévoilés mercredi 20 septembre par le fabricant révèlent une efficacité dans près de neuf cas sur dix (88 % des situations), sur au moins un des deux critères testés : structure de sol ou dégradation de la matière organique. Les analyses ont concerné 20 000 ha, entre 2020 et 2023. Elles ont consisté à comparer l’application de ce biostimulant conditionneur de sol avec une bande témoin.

Ces tests ont été conduits sur une vaste part du territoire national auprès de 1 681 fermes différentes et en partenariat avec plus de 80 acteurs de la distribution agricole (Unéal, Agrial, Terrena, Océalia, Cavac, Soufflet…). « À ma connaissance, jamais de produit biostimulant n’avait été testé d’une façon aussi large », souligne Samuel Marquet, cofondateur de Gaïago.

Un ciblage plus pertinent

« Le protocole de mesure a été construit à partir d’indicateurs très simples. Les résultats ont par ailleurs été validés avec les agriculteurs et les distributeurs », insiste Olivier Rodel, responsable d’équipe produit chez Gaïago. Le fabricant rapporte également des bénéfices induits sur les cultures, par une hausse du rendement de 2,5 t/ha en pomme de terre et 2,9 t/ha en betterave sucrière. Il constate également une hausse de la qualité des moûts en vigne. Des impacts positifs ont été également constatés pour les deux autres cultures testées (blé et maïs), sur la mycorhization ou les enracinements.

« Nous avions déjà eu la validation officielle de l’efficacité de notre produit de la part de l’Anses au travers d’une autorisation de mise sur le marché. Cependant, notre démonstration à grande échelle nous permet de rendre plus concrètes ces allégations pour chacun », se félicite Olivier Rodel. Le fabricant explique également que la diversité et la densité des tests effectués lui permettent d’encore mieux connaître son produit pour réaliser un ciblage encore plus pertinent.

« Une première étape sur le chemin des sols vivants »

« Notre démarche a permis de valider la pertinence de notre solution dans une logique de triple performance, économique, agronomique et environnementale. Elle a permis également d’emmener tout le monde aux champs, agriculteurs et distributeurs, pour voir concrètement comment cela fonctionne, se félicite Samuel Marquet. C’est une première étape sur le chemin des sols vivants qui peut permettre également d’embarquer des agriculteurs dans des programmes de stockage de carbone dans le sol, par exemple. L’agriculture a un grand besoin de pédagogie autour de tout ce qui se passe dans les sols. La science du sol est une science en devenir. C’est l’avenir de l’agriculture. »

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